La Baie d’Ha Long, la terrestre et la marine

La Baie d’Ha Long, la terrestre et la marine

Une nuit en train et nous arrivons à la baie d’Ha Long terrestre, à Tam Coc. Il fait frais, que c’est bon! Sous un ciel gris, nous passons quatre jours au milieu de merveilleux paysages de pitons en calcaire couverts d’un fouillis végétal au milieu des rizières bien vertes.

La classe le matin à la guesthouse.

Ballade en barque dans les grottes de Tam Coc, qui rivalisent de leur beauté avec celles de Trang An.

Les rameurs pagaient avec leurs pieds.

Passage de nombreux tunnels rocheux érodés. Attention à baisser la tête (voir la vidéo)!  

Théo reçoit de chouettes messages, notamment de ses amis et de son coach de hockey, et connaît son premier gros coup de cafard. Les amis, le hockey, la famille et même l’école lui manquent.

Le reste de la troupe est en pleine forme!

Et encore une chouette rencontre!

Après un passage express à Hanoï pour lancer la procédure des visas pour l’Indonésie, nous partons direction la baie de Lan Ha, la petite sœur de la baie D’Ha Long, moins touristique.

Juste magnifiques … les pains de sucre qui émergent de la mer couleur bleue émeraude.

Notre jonque, enfin plutôt notre vieux rafiot!
Ouf, Mag ne voit les cafards que le troisième jours.

Ballade en kayak dans la baie.

A vélo sur l’île de Cat Ba.

Soirée pêche … Félix bat tous les records! On ne s’étonne pas de la quantité de calamars proposés dans son assiette le lendemain! 

Baignades et sauts à gogo!

Théo continue à progresser à la guitare .

Le rêêêêêêêêêêêêêêve …

… mais qui se termine en cauchemar !

Marilou coince son petit doigt dans le chambranle de la porte du bateau, qui se claque violemment dessus. Elle huuuuuuuuurle! Son ongle est complètement retourné et la coupure semble bien profonde. Oh le stress! On a peur que son os ou nerf soit touché.

On rejoint vite la côte pour mettre de la glace et sauter dans un taxi direction le seul médecin du coin. Juste après qu’il m’ait rassurée sur le sort du doigt, mon corps me lâche et je tombe dans les pommes à la vue de ce petit morceau de chair. Marilou, plus courageuse que moi, ne bronche pas alors que le médecin qui lui nettoie la plaie et lui fait un sort à son ongle. Et de me dire : « mais maman pourquoi tu t’es couchée? Et pourquoi tu pleures? C’est ok tu sais ! ». 

Les heures en bus avant de rejoindre l’hôpital d’Hanoï pour lui faire les points de suture nous semblent interminables! Finalement … tout se termine bien. Marilou revient de l’hôpital toute fière de ses exploits. Et depuis lors, ses points et plaies se cicatrisent bien.

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