Dans la campagne d’Ubud chez Mas et Ganyar
Nous nous posons une semaine à Keliki Painting School, un village d’artistes balinais, à 20 minutes d’Ubud, loin des hordes de touristes. On y loge dans une famille adorable, qui parle le français. A nouveau, on s’y sent vraiment bien.

On y rencontre d’autres français et belges dans les balés voisins (dont la famille de Cyrille et Aurélie avec qui on fera une croisières aux îles Komodo par la suite). Ambiance et apéros très sympas, tant pour les petits que les grands.


Les enfants prennent des cours de peinture avec Mas et Ganyar.

Félix s’applique et en redemande.

On craque et on achète une toile à Daguy, un artiste rencontré lors d’une promenade à vélo.

Petit arrêt pour une noix de coco fraîchement cueillie pour nous.

Ganyar nous emmène en promenade de Keliki jusque Ubud.

La nature est exubérante. Tout est vert : les palmiers de la forêt tropicale, les cascades, les courbes des rizières qui dansent au milieu des collines. On s’en met plein les yeux.


Des décors façon carte postale en veux tu en voilà!


On se lance en rafting sur la rivière Ayung et » on pagaie on pagaie ».

Quelle surprise Bali! On ne s’attendait pas à ce que la religion hindouiste e y soit aussi présente.
Chaque famille possède un temple dans son balé et des autels dans le jardin (un balé est composé des maisons des familles des frères d’une même famille).

Tous les matins pendant les cours, nous admirons nos hôtes procéder au rituel sacré des offrandes, célébrant la nature, les morts et les vivants. Un moment magique et spirituel.

On croise aussi presque tous les jours des Balinais tout élégants en habits traditionnels, en route vers une cérémonie.
Visite du temple royal à Ubud et du temple hindou Gunung Kawi Sebatu .

On se purifie dans les eaux miraculeuses des sources sacrées.

Fabrication d’huile de noix de coco avec Ganyar.

Spectacle de danse Barong. Très beau mais un peu trop long.

Étonnant la façon dont les femmes bougent leur doigts, leurs yeux, de manière gracieuse, saccadée et tragique.
Le café le plus cher au monde à partir de crottes de civettes!

Ce rongeur mange les graines de café qui sont ensuite récupérées dans ses excréments, puis lavées et torréfiés, ce qui donne paraît-il un des meilleurs cafés au monde!
Yeeeeeeeeeeeeeeeees! Théo, Félix et Marilou ont fini leur programme scolaire. On laisse donc notre sac « boulet » à Keliki et on s’allège de tous les livres de cours et souvenirs pour la suite du voyage.